“À la tête de l’Orchestre national de Metz, aux pupitres répartis un peu hors de la fosse, à l’avant du parterre, pour répondre aux impératifs sanitaires du moment, David Stern fait respirer la vitalité des couleurs et des inflexions de la partition, avec un éclairage ductile sur les interventions instrumentales, sans renoncer à la générosité mozartienne, compensant les relatives imperfections de la patine sonore. Expert dans la rhétorique expressive, le chef américain rend justice à la complexité du discours et des émotions mozartiennes.” – Gilles Charlassier
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